Havres d’âmes à la dérive, auréoles glauques
Murs mastoc, s’imposent comme seigneurs de ces blocs
Tatoués ou gravés jusqu’à la moelle opaque voile
Scellant l’intimité de nos proches, comme une vivante toile,
Et mille chocs, façonnant vos visages
Empêchent mes yeux de parcourir le paysage
Combien de fois ai-je écrit mon idéal sur cet héritage
Stériles larmes, art sacré, traits véritables.
I am, « Murs », album Revoir un printemps, 2003.

I am, « Murs », album Revoir un printemps, 2003. Translation by me.